Les portes d'or : Charles Doudelet et le symbolisme

Les portes d'or : Charles Doudelet et le symbolisme
Collectif
Ed. Silvana

Né à Lille en 1861, Charles Doudelet s’installe à Gand après le décès de son père en 1877. Il devient le dessinateur attitré de l’Université et développe, entre 1887 et 1902, un réseau artistique en participant à de nombreuses expositions, Salons et revues, tout en devenant franc-maçon. C’est à cette période que débute une relation amicale avec l’écrivain Maurice Maeterlinck. Ensemble, ils conçoivent de nombreux projets comme des décors de théâtre, mais aussi des illustrations dont les célèbres Douze Chansons (1896). En 1902, Doudelet reçoit une bourse de quatre ans pour étudier à Florence où il fréquente les bibliothèques et copie les livres précieux. Il s’installe à Livourne puis à Rome avant de revenir à Gand en 1926 pour y finir sa vie (1938). Intellectuel passionné, Doudelet s’est illustré par sa polyvalence et son audace graphique. Il fait partie de ces artistes belges symbolistes à (re)découvrir absolument.

Le livre du jazz

Le livre du jazz
Langston Hughes
Ed. Ypsilon

Le Livre du jazz de Langston Hughes propose un voyage dans l'histoire de son Amérique via la musique qui le représente le plus. Il raconte une histoire du jazz depuis ses racines enfouies en Afrique jusqu'à son succès sur les scènes de Broadway et sa reconnaissance internationale. Il nous fait découvrir la nature enjouée de ses rythmes syncopés, de ses mélodies improvisées et de ses instruments réinventés.

Le talent de poète et de conteur de Langston Hughes rend hommage à la virtuosité des grands musiciens et interprètes de jazz, de Jelly Roll Morton à Dizzy Gillespie, en suivant le tempo de la vie du trompettiste Louis Armstrong, qui se confond avec celle du jazz lui-même, né comme par hasard un 4 juillet à La Nouvelle-Orléans.

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Philippe R. Doumic, l'oeil du cinéma

Philippe R. Doumic, l'oeil du cinéma
Laurence Doumic-Roux
Ed. Capricci

Dans les années 1960, Philippe R. Doumic réalise pour Unifrance 15 000 photographies d'actrices et d'acteurs, de techniciens, de réalisateurs, pour promouvoir le jeune cinéma français. Beaucoup de ces étoiles montantes sont devenues des stars (Catherine Deneuve, Jean-Paul Belmondo, Brigitte Bardot...) et nombre des images de Philippe Doumic ont depuis fait le tour du monde. Mais le nom du photographe est demeuré dans l'ombre.

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Journal russe

Journal russe
John Steinbeck
Ed. Gallimard

En 1947, Steinbeck et Capa passent quarante jours en URSS, séjournent en Ukraine et en Géorgie, se rendent à Stalingrad et à Moscou dans le cadre d'un photoreportage pour le New York Herald Tribune. Ils observent la vie quotidienne, visitent des fermes et des usines, interrogent des fonctionnaires et des anonymes. Steinbeck compare l'URSS avec les Etats-Unis.

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Back to America : les Etats-Unis en couleur, 1935-1943

Back to America : les Etats-Unis en couleur, 1935-1943
Sébastien de Oliveira
Ed. Chêne

Une invitation à la découverte des Etats-Unis à l'époque du New Deal à travers des clichés pris entre autres par Jack Delano, Marion Post Wolcott, Marjory Collins, etc., missionnés par l'Etat dans le but de documenter les actions gouvernementales. S. de Oliveira a sélectionné et mis en couleurs 180 images issues de ce fonds photographique.

Montparnasse : quand Paris éclairait le monde

Montparnasse : quand Paris éclairait le monde
Mathyeu Le Bal
Ed. Albin Michel

Au début du XXe siècle, Montparnasse devient le point de ralliement des artistes, notamment des exilés : ceux d'Europe centrale qui ont fui les pogroms, des Américains, des Japonais ou encore des Italiens attirés par la France. Ils donnent naissance à l'Ecole de Paris et font de ce quartier la capitale mondiale de l'art contemporain.

Les éventails d'Edo

Les éventails d'Edo
Christophe Marquet
Ed. In fine

Une publication consacrée aux estampes d'Utagawa Hiroshige (1797-1858) destinées à décorer des éventails plats, les uchiwa-e.

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Les nuits Solidor

Les nuits Solidor
Charlotte Duthoo
Ed. Cherche Midi

Suzy Solidor incarne l'esprit débridé, moderne et festif des Années folles. Muse, rebelle, femme de la nuit qui règne sur son cabaret, elle séduit la France entière de sa voix rauque jusqu'à ce que la guerre éclate. Ouvertement bisexuelle, elle fascine de très nombreux artistes jusqu'à devenir la femme la plus peinte au monde. Foujita, Picabia, Lempicka, Cocteau, Bacon... plus de deux cents artistes ont été séduits par sa beauté à la fois anguleuse et charnelle.


Cette femme au parcours hors du commun rêvait de devenir mannequin chez Lanvin : la voici nue devant l'objectif de Man Ray, en robe de soirée récitant les poèmes de Cocteau, ou ivre de bonheur au bras de son amant, l'aviateur Jean Mermoz.

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Apparitions : archives de la France hantée

Apparitions : archives de la France hantée
Philippe Baudouin
Ed. Hoëbeke

Le sujet des phénomènes inexpliqués en France est abordé sous l'angle scientifique et judiciaire à travers quinze récits d'enquêtes : interrogatoire de Bernadette Soubirous, Emile Zola et les prophéties d'Henriette Couëdon, investigations de l'astronome Camille Flammarion sur les spectres, expertise de la médium Eusapia Palladino par Pierre et Marie Curie, entre autres.

L'art des anciens des Pays-Bas

L'art des anciens des Pays-Bas
Jan Blanc
Ed. Citadelles & Mazenod

Entre la fin du XIVe et le milieu du XVIe siècle, les Pays-Bas s'imposent comme l'une des principales scènes artistiques du monde occidental. Mieux : l'art néerlandais acquiert ses lettres de noblesse en étant reconnu, plus que tous les autres, comme un art du présent. Alors même qu'il est considéré comme le plus grand artiste de son temps, Michel-Ange critique vertement la « peinture flamande », faite pour « tromper la vue » en montrant « des choses plaisantes pleines d'agrément, ou des choses dont on ne puisse parler en mal, comme des saints ou des prophètes », quand l'art italien se présente comme « une copie de la perfection de Dieu, et un souvenir de la peinture divine ».


Les récriminations du maître témoignent de l'importance prise par l'art et les artistes des anciens Pays-Bas, au milieu du XVIe siècle, mais aussi des qualités qu'on leur accorde au sud des Alpes - un goût pour le plaisir visuel, une recherche des émotions les plus intenses et un intérêt concret pour le monde quotidien et contemporain.

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