Fruit de la complicité de l'écrivain Irène Frain et du photographe Philip Plisson, Peintre de la Marine, cet ouvrage unit deux regards sensibles et contemplatifs sur la mer et ses couleurs les plus subtiles. «La mer couturière », « L'oeil doré de la mer », « La peau des couleurs »? la plume d'Irène Frain vagabonde dans ses souvenirs, ses sensations, son imaginaire et ouvre un champ poétique inédit auquel les images de Philip Plisson répondent avec justesse.
La lumière et ses variations révèlent toute la beauté des paysages marins, dans des instants fugaces comme le chatoiement de la mer au soleil couchant ou une trouée de lumière illuminant un phare isolé.
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Epuisé en français. Version anglaise toujours disponible

Depuis 1925, le New Yorker est le magazine culte des intellectuels américains. Dès le premier numéro, les dessins d'humour ont été la marque de fabrique de ce journal. La rédaction affirmait même que c'était la meilleure revue au monde pour ceux qui ne savent pas lire !

Le New Yorker a publié 68 647 dessins de 400 dessinateurs, autant dire tous : les plus prolixes, les plus rares, les collaborateurs exceptionnels... C'est le Panthéon du dessin d'humour.

Cette intégrale est une entreprise éditoriale monumentale. Il a fallu 4,5 kg de papier pour retracer quatre-vingts ans de dérision et de culture américaines. C'est toute notre histoire qui défile, depuis la construction des gratte-ciel de Manhattan jusqu'aux extravagances de la nouvelle économie.

«Si vous passez sept secondes sur chacun des dessins - certains en demandent beaucoup plus - il vous faudra cinq jours et cinq nuits pour les voir tous...»

Robert Mankoff

68 647 dessins, soit l'intégrale des «cartoons» publiés dans le New Yorker entre 1925 et 2004.

Les plus grands artistes : Dunn, Rose, Arno, Kledin, Booth, Price, Steig, Thurber, Chonday, Addams, Ziegler, Steiner, Koren et même notre Sempé national...

Au seuil de chaque décennie, les dessinateurs du New Yorker apportent leur éclairage sur les modes de pensée, les aspirations et les coutumes de chaque époque. Ils retracent l'histoire d'une culture et racontent les coulisses d'un magazine culte.

Deux CD-Roms avec un index électronique. Toutes les recherches sont possibles grâce à un moteur de recherche intégré à plusieurs entrées (par date, par auteur, par mots clés de Art à Zoology...). Un système d'archivage personnalisé offre l'occasion de constituer sa propre sélection de dessins et de sauvegarder ses recherches. Les CD-Roms sont en version originale.
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Avec Ne lisez pas ce livre si vous êtes stupide, son premier recueil de nouvelles, Tibor Fischer, auteur du Gang des philosophes, nous montre avec talent combien l'humour est, plus que jamais, la politesse du désespoir. Les histoires de ce 'Joseph Conrad humoriste' mettent en scène des trentenaires à bout de souffle, professionnellement et sentimentalement largués.

Retrouver pour un séjour 'de rêve' sur la côte d'Azur, ses amis riches et sans complexes, alors qu'on est le seul à être encore dans la galère. Se demander ce qu'on va faire dans l'Angleterre du XXIe siècle de son seul et unique talent: savoir dégainer plus vite que son ombre. Réaliser soudain que le meurtre en série est un moyen plus efficace que l'art pour atteindre à la notoriété. Aider deux comiques birmans emprisonnés dans leurs pays juste pour donner un peu de sens à son existence. Décrocher enfin le scoop qui va changer sa vie: un charnier à Timisoara. Autant de situations qui, si elles sont loin d'être gaies, peuvent heureusement être drôles.

Avec ses antihéros, diablement contemporains, qui, passés la trentaine, sont bien obligés de faire un premier bilan de leur vie, Tibor Fischer dresse un portrait au vitriol, à la fois sans concessions et irrésistible, du monde d'aujourd'hui.
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Bruxelles. 1900. l'Art Nouveau est en plein essor. L'inspiration des architectes et des artistes foisonne. Aujourd'hui, cet art moderne, inventer pour libérer la création de toute contrainte, est toujours un des pôles d'attraction de la ville. Ce film vous emmènera à la découverte des plus belles façades de l'Art Nouveau : le Palais Stocklet, l'Hôtel Solvay, le MIM... Explorez les richesses décoratives tant intérieures qu'extérieures de ces nombreux édifices bruxellois connus ou méconnus.
Un hommage à l'audace.
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Folioscope

Ce livre raconte deux moments ou plutôt deux temps dans l'énoncé de la création.
Le premier, singulièrement long, est constitué par la conception et la réalisation continue et inachevée durant 17 ans, d'un espace moulé sur une personne (Dido Dujardin). C'est l'histoire d'une multi commande singulière (en moyenne deux demandes par an) embrassant des sujets spatiaux et de simples objets, des volontés inabouties, voire de simples contemplations non productives. Ce lieu devient progressivement le laboratoire de ces énoncés.
Le second, particulièrement bref lorsque la photographe Marie-Françoise Plissart découvre ce lieu. Son enthousiasme communicatif se traduit instantanément photographiant deux séries de 30 images qui soulignent les aspects mobiles, mécanistes de physiques de cette habitation.
Ces deux moments sont reliés dans un livre aux manipulations multiples traduisant cette trame du temps.
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William Klein tour à tour peintre, photographe et réalisateur est né à New York en 1928 et il est toujours jeune...
Du 7 décembre 2005 au 20 février 2006, le Centre Pompidou présente une exposition importante consacrée à ce grand artiste, à qui l'on doit entre autres le film mémorable Qui êtes-vous Polly Magoo ?, les photos de mode descendue dans la rue, les 'contacts' peints, etc.
A l'occasion de cette exposition, les éditions Marval et Centre Pompidou publient un catalogue dont la maquette a été réalisée par William Klein lui-même.

Attention : prix édition reliée : 77.40 ?

La collection Dora et Paul Janssen, qui rassemble quelques-uns des plus beaux chefs-d'oeuvre de l'art précolombien, nous emmnène dans tout le continent américain, et témoigne de la richesse extraordinaire des cultures de l'Amérique ancienne. Les artistes préhispaniques ont excellé dans le travail de la pierre, de la terre cuite, du textile, de l'art plumassier ou de l'orfèvrerie, offrant selon les régions une variété inouïe de styles, de techniques et d'inspiration. A travers cette publication, c'est un monde bien différent mais ô combien fascinant et mystérieux qui s'offre aux lecteurs. On y découvrira non seulement des pièces de choix des grandes civilisations (olmèque, maya, aztèque, inca) mais également des oeuvres de cultures moins connues qui méritent notre égale admiration à l'égard de leurs maîtres artistes.
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Déjà à l'origine de nombreux ouvrages de référence consacrés aux artistes belges, les Editions Art in Belgium et Nicolas Poncelet publient aujourd'hui la première édition du Dictionnaire des compositeurs de Belgique du Moyen Age à nos jours. Il s'agit ni plus ni moins du répertoire le plus complet jamais édité à ce jour en Belgique.
Pour la première fois, un dictionnaire rend justice aux quelques 1.400 compositeurs dont il évoque la vie, l'oeuvre et les écrits. Il est le fruit des recherches musicologiques les plus récentes. Il fait place à des compositeurs injustement oubliés mais apporte aussi de précieuses informations sur les compositeurs jouant un rôle actif dans la musique d'aujourd'hui. Il résume en un volume toute la richesse de la vie musicale en Belgique.
Thierry Levaux et son équipe de musicologues (Valérie Dufour, Géry Dumoulin, Fabrice Holvoet, Sylvie Janssens, André Van Oekel et Laurence Wuidar) ont mis plusieurs années à parachever un extraordinaire travail d'inventaire basé sur les méthodes musicologiques les plus modernes. Ouvrage de référence, guide pratique de cinq siècles d'activités musicales, ce grand Dictionnaire des compositeurs de Belgique du Moyen Age à nos jours apporte, pour la première fois, la documentation d'ensemble qui montre la richesse et le développement de notre patrimoine musical.
Ouvrage publié sous le parrainage et avec l'aide du Ministère de la Communauté française Wallonie-Bruxelles, et préfacé par Robert Wangermée, président du Conseil de la Musique.
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Avec une boîte d'aquarelle, un vieil appareil photo et un carnet de notes, Claire et Reno Marca partent en avril 2000 pour un long et beau périple qui les conduira, pendant trois ans, sur quatre continents et dans 25 pays. Jour après jour, de l'Afrique au Pacifique, ils vont tout consigner -par la couleur et les mots -pour ne rien oublier. Ils restituent ici, avec précision et sincérité, les aléas de leur quotidien de nomades, leurs rencontres, leurs enthousiasmes et leurs déceptions, et offrent un éclairage documenté sur les singularités culturelles de la situation politique des contrées traversées. Riche de plus de 700 illustrations, de nombreuses cartes géographiques et de petits livrets insérés, ce récit de voyage hors norme est un somptueux et passionnant atlas vécu.
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« Miroir noir! Bel oxymoron... » Ainsi débute cette remarquable contribution à l'histoire de la culture visuelle occidentale. Dans cette première étude «panoramique» d'un instrument d'optique injustement oublié, Arnaud Maillet recadre notre compréhension historique de l'expérience visuelle et les diverses significations possibles du miroir noir en mettant cet objet ambigu en relation avec les notions de transparence, d'opacité et d'imagination. Si ce petit instrument d'optique, longtemps confondu avec d'autres, connut une popularité avérée à la fin du XVIIIe siècle dans l'Europe des amateurs de pittoresque, il fut rejeté au XIXe siècle puis totalement oublié (ou presque) de nos jours. Objet scientifique pour les savants, magique pour les occultistes, cultuel pour certaines civilisations, objet de recherches esthétiques pour les peintres et expérimentales pour les artistes contemporains, ce miroir est également indissociable du désir, de la mélancolie et de la mort. Il s'agit alors de comprendre que ces divers aspects du miroir noir bien souvent ne s'opposent pas, mais constituent plutôt l'unité homogène, cohérente et fondamentale de tout
un pan de notre culture s'articulant autour de l'équation clair/obscur. De Claude Lorrain à Christian Boltanski en passant par Alberti, de Piles, Gilpin, Coleridge, Ruskin, Matisse ou Richter, Le miroir noir nous emmène de ses origines magiques et occultes jusqu'à ses avatars actuels à travers une série de pratiques picturales et technologiques telles que la photographie, le cinéma et l'art contemporain. Traverser ce miroir sans craindre de s'abîmer dans le côté obscur nous confronte à une évidence: c'est dans l'aveuglement que se constitue le regard.
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