La suite des Praticiens de l'infernal est enfin arrivée en librairie! Après 5 ans d'absence, Fongor Fonzym et ses deux acolytes les jumeaux mutants Thémistecle n'ont rien perdu de leur puissance humoristique.
Soft City, du dessinateur norvégien Hariton Pushwagner est un joyau du roman graphique, une dystopie unique en noir et blanc qui retrace la journée ubuesque d’un cadre moyen dans une mégalopole anonyme, au beau milieu des années 1970. Le trait unique de Pushwagner, alors tout juste adulte, bien avant qu’il ne devienne un artiste contemporain reconnu, plonge dans la vie morne et aliénante de la société de consommation.
A l’approche du 4 août, la terreur s’empare du quartier, car tous les habitants savent que la mystérieuse malédiction va inexorablement s’abattre: chaque année, durant la nuit du 4 au 5 août «quelqu’un» disparaît. Les précédentes victimes avaient toutes quelque chose en commun, une particularité, un «défaut de caractère» qui en faisaient des exclus, ou des «invisibles» comme les appelle Josepha. Josepha, c’est le rayon de soleil du coin; sans relâche et avec abnégation, elle fait sa «tournée», apporte le journal, boit un café, et tente à tout prix de créer du lien et de n’oublier personne. Mais le 4 août approche… Avec son parfum doux-amer et son atmosphère mélancolique, La Nuit du Misothrope ne se veut pas un «polar» et d’enquête ici il n’est pas question, et le petit monde mis en scène dans ces pages nous interroge bien plus sur des notions comme l’exclusion, la solitude et la dévouement que sur la recherche d’un éventuel coupable.
Lisa (la dessinatrice) et Yasmine (la sociologue) se sont rendues dans la "jungle" de Calais durant un an. Elles témoignent avec humour - et sans misérabilisme - du travail quotidie des associations pour soulager la détresse de ces milliers d’hommes, de femmes et d'enfants qui fuient la guerre. (présentation de l'éditeur)
On ne sait rien de ce pays dévasté, hanté par quelques survivants presque animaux, sinon qu’il y a des usines abandonnées et des terres ravagées, des étendues d’eau où surnagent des cadavres de toutes espèces. On ne sait rien, sinon que les champignons y poussent encore et que les cochons s’y épanouissent dans la boue mieux que les hommes. C’est là la terre des fils. Un père et ses fils survivent. Mutique et brusque, il leur apprend à être invincibles en bannissant toute tendresse. Le soir venu, il griffonne un carnet que les enfants illétrés, ne peuvent pas déchiffrer.
Comédie sociale où s'affrontent un maire communiste charismatique et un entrepreneur capitaliste ruiné et banni de chez lui, dans une Espagne contemporaine ancrée dans la réalité, de la crise à Podemos. (présentation de l'éditeur)
Métaphore de l'adolescence où le jeune, dans la difficulté des choix de vie, découvre son univers quotidien sous un autre jour : le goût prend forme, la musique courent sur ses épaules tel un petit animal, tous ses sens discernent une beauté inouïe. (présentation de l'éditeur)
Berlin est désormais une ville frivole où les technologies règnent en maître. Selma s'est séparée de Max, elle vit seule et sans emploi. Désoeuvrée, elle se sent étrangère à tous ces phénomènes de mode et à l'urgence qui guide chacun. Elle rêve d'un mystérieux désert où elle se sentirait plus en harmonie.
Le docteur Tamaki mène des recherches sur le cerveau humain. Hashi, 19 ans, dit tout haut ce qu'il pense suite à un accident qui lui a laissé un morceau de tôle dans le crâne.
Jack Dalton (ou William ? – qui, au fond, sait différencier les deux frères du milieu ?) entreprend une grève de la faim en prison. Lucky Luke est appelé à la rescousse pour résoudre cet énième problème lié aux Dalton. Mais il doit aussi faire face à une autre situation, celle-là inédite et gravissime : Jolly Jumper est boudeur, il fait la tête et ne lui répond plus. Lucky Luke tente désespérément de renouer le dialogue avec son fidèle destrier... (présentation de l'éditeur)