La Montagne raconte la quête de sens d’un adolescent dans un monde et une famille rurale qui meurent à petit feu, son manque de perspectives dans une société écocidaire et autoritaire…
Les variations de Valfret sur les champs, les vallées, les façades décrépies racontent en évitant les longs discours l’histoire intime, sociale et politique d’un personnage et des lieux qu’il voit quotidiennement. Ses pensées rentrent dans de vieux bâtiments, se posent sur les paysages silencieux d’un bled anonyme, ou semblent sourdre de l’orage, se disperser dans le vent comme la fumée d’un pétard.
Oppression, vertiges, hyperventilation, douleurs thoraciques, palpitations cardiaques… Vos jambes se dérobent et la peur s’empare de vous. Vous la sentez qui s’enracine, elle pousse de l’intérieur, se ramifie dans tout votre corps…
Vous n’allez pas mourir, rassurez-vous. C’est juste une crise d’angoisse. Cueillez ces peurs, coupez les tiges, mettez-les dans un vase et vous obtiendrez, vous verrez, un bien joli bouquet.
La quarantaine décrite avec humour, entre routine quotidienne, usure du couple, contraintes familiales et professionnelles, anxiété politico-écologique, mais aussi acceptation de soi.
Deux adolescentes, Charlie et Anima, se retrouvent le jour de la rentrée. L'une est exubérante et sauvage, tandis que l'autre est réservée et complexée. Un roman graphique dans lequel l'auteure aborde l'adolescence positive, la découverte de la sexualité et du consentement ou encore l'adaptation dans un nouvel environnement.
Une soucoupe se pose au milieu des dolmens après un long voyage. Deux hommes, Silence et Béla, en descendent. Ce dernier, un bandeau sur l'oeil, découvre ainsi sa terre natale et part à la recherche de son père. Mais il tombe dans une embuscade et se retrouve prisonnier d'un peuple étrange dont tous les membres portent un masque identique au visage de Lemon Jefferson, décédé 250 ans avant.
Trois histoires qui mettent en scène l'amour entre un jardinier de cimetière et un pleureur de tombes professionnel, une étudiante en art qui demande à un jeune homme de poser pour elle, nu, et des agents du futur envoyés dans le présent pour réparer un paradoxe temporel, mais ne voulant plus repartir dans leur dimension après avoir testé la dolce vita.
Bien que descendante d'immigrés portugais, l'autrice ne connaît pratiquement rien du pays. Son père refuse obstinément d'en parler, et surtout pas de son enfance sous la dictature de Salazar. Elle se renseigne alors auprès des amis de son père et commence un périple, de la région parisienne à Lisbonne.
Au milieu du XVIe siècle, le jeune Nicolas est chargé par les colons français installés sur un îlot proche de la côte brésilienne de servir d'intermédiaire avec les Indiens Tupinambas. Echappant au cannibalisme grâce à ses talents de chanteur, il apprend leur langue et s'intègre à la tribu, tentant de comprendre ses coutumes et ses croyances. Un conte philosophique sur le racisme et la sauvagerie.