Lumière pour le spectacle
Ed. Librairie théâtrale
Date de publication : 01/12/2010
Le roman policier de la lumière où l'on apprend que ce n'est pas l'éclairagiste qui a assassiné le metteur en scène
La Librairie Théâtrale avait publié en 1988 et en 1994 deux versions de Lumière pour le spectacle. Avec cette nouvelle version, à l'aube de ce troisième millénaire, version refondue et augmentée, qui offre aussi une réflexion sur les appareils automatisés et leur emploi théorique, F-E Valentin continue sa recherche sur ce qui est à la fois son métier et sa passion : le langage de la lumière. Par de nombreux exemples pratiques, il met ainsi trente ans d'expérience créatrice au service du lecteur.
Tout spectateur désireux de comprendre « comment ça marche » se plongera dans la lecture de ce livre, ni manuel réservé aux seuls spécialistes, ni livre de recettes pour apprentis sorciers, mais dans le même esprit que ses trois prédécesseurs, tous ouvrages considérés depuis longtemps comme la référence ; cette nouvelle version s'inscrit dans une démarche de réflexion sur l'essence même de tout spectacle, qu'il s'agisse de théâtre, de danse, de musique, de son et lumière, tous genres pour lesquels F.E.V. a conçu, pendant ces trente années, de nombreux éclairages, en complicité avec différentes équipes de création : metteur en scène, acteurs, décorateur, costumier...
Il essaie ainsi de situer l'éclairagiste au milieu des autres professionnels du théâtre. A côté de toutes les informations pratiques dont il aura besoin, le lecteur trouvera aussi les questions qui lui permettront d'inventer lui-même ses propres réponses lors de ses créations futures.
« François Eric Valentin sait que la lumière est le comédien qui ne figure pas dans la distribution... Derrière l'indispensable rigueur technique, il y a l'appétit d'un poète, et derrière les projecteurs, un dramaturge qui fait chanter l'espace. » Étienne Catallan in Le meridional Juillet 86.)
« Tout au long de ce brillant ouvrage passe un joli message chargé de la densité poétique du métier, de ses effets impalpables, réalité immatérielle et complémentaire du décor... (Journal de la Comédie-Française.)
« Parler de travailleur de l'ombre lorsqu'on évoque le nom de François Eric Valentin parait bien inapproprié tant ce créateur des paysages de l'âme maîtrise avec doigté et délicatesse ses pinceaux de lumière. » (Ouest France Juillet 2001)