Un roman d'anticipation politique et économique où, pendant la liquidation, l'économie de marché et la finance aux abois continuent de travailler à leur propre accomplissement.
Bruxelles, 1971. Jean est amoureux d'Anna. Nommé professeur de morale laïque, il doit se présenter à l'Athénée d'Ixelles. Ce poste est l'occasion pour lui d'entamer une nouvelle vie faite de rencontres déterminantes, comme celle avec Noureddine, un élève palestinien contestataire, puis de se rendre en mission au Maghreb.
On peut la jouer tout sourire au quotidien. N'empêche... ça mijote, ça travaille dans les profondeurs ! La prudence ou la lâcheté espèrent qu'on laissera clapoter le moût dans le fond des marmites jusqu'à l'extinction totale des fermentations. On s'efforce d'y croire. Mais des histoires comme ça, faut être drôlement solide pour les étouffer, mettre son mouchoir pardessus et n'en jamais rien dire...
D'ailleurs je ne sais pas où cette mise en mots va m'emmener, ni pourquoi je suis saisi par le besoin de raconter ces histoires et les bouts de vie en forme de culs-de-sac qui vont avec.
Les rencontres marquantes d'Isookanga, un jeune Pygméee en route pour Kinshasa, où il veut se lancer dans les affaires.
Daniel n'en peut plus de l'humanité. Il quitte tout et s'enfonce dans les bois pour vivre en solitaire, au milieu des bêtes sauvages, devenant aussi farouche qu'un sanglier. Mais les habitants du village n'aiment pas le mépris de Daniel et, après tout, les hommes chassent les animaux...
A Paris, une veuve entre au service d'un Américain fantasque qui vit seul dans un grand appartement. A Memphis, 20 ans plus tôt, disparaissait une icône du rock'n'roll. Deux destins pour une confrontation de deux personnages aussi attachants que monstrueux.
Sous forme de roman épistolaire, l'auteure imagine les relations d'Hugo Boch, peintre imaginaire, avec ses contemporains tels que Paul Gauguin et Vincent Van Gogh.
Enquête de l'écrivain, mêlée de fiction, sur l'histoire d'amour impossible du jeune J.D. Salinger et d'Oona, la fille du dramaturge Eugene O'Neill, et sur les liens entre cet épisode et le choix de Salinger de vivre en reclus.
On peut la jouer tout sourire au quotidien. N'empêche... ça mijote, ça travaille dans les profondeurs ! La prudence ou la lâcheté espèrent qu'on laissera clapoter le moût dans le fond des marmites jusqu'à l'extinction totale des fermentations. On s'efforce d'y croire. Mais des histoires comme ça, faut être drôlement solide pour les étouffer, mettre son mouchoir pardessus et n'en jamais rien dire...
D'ailleurs je ne sais pas où cette mise en mots va m'emmener, ni pourquoi je suis saisi par le besoin de raconter ces histoires et les bouts de vie en forme de culs-de-sac qui vont avec.