Paul, professeur, marié et père de deux enfants, quitte tout, suite à un incident survenu le jour de la rentrée scolaire. Il est animé par l'espoir de commencer une nouvelle vie et de faire de nouvelles rencontres. Premier roman.
En souvenir de l'universitaire Saori, son seul amour, Shoichi entame une quête sur les traces des haïkistes qu'elle adorait : Santoka, Basho et Saigyo.
John Lloyd disparaît mystérieusement. Stéphanie, sa petite amie, demande à Gustave Leroy d'enquêter. Mais l'arrivée de Mike, le frère du disparu, complique ses investigations.
L'auteur partage ses souvenirs de l'Himalaya, à travers des portraits, des anecdotes et des analyses, apportant de nouveaux éclairages sur des événements et les peuples dans cette partie du monde.
Le narrateur, benjamin d'une famille dont la mère jette l'argent par les fenêtres et le père ferme les yeux, passe au crible de ses capacités d'observation exceptionnelles des scènes de la vie familiale. Il décrit des moments d'amitié, des admirations cinématographiques, les souvenirs d'une scolarité houleuse, ses rêves d'aventures et ses tendances anarchistes. Premier roman.
Souvenirs d'une enfance en Russie communiste en cinq récits sur trois générations de citoyens soviétiques. Ayant pour fil conducteur la peur qui domine la vie sous un régime totalitaire, ils racontent plusieurs étapes du parcours de l'auteure, témoignant de sa fascination pour l'Occident mais aussi de sa fidélité à sa terre natale.
Une petite fille disparaît en l'espace de quelques secondes alors qu'elle était en train de faire de la corde à sauter.
Un homme rencontre une femme dans un bar, Anna, qui lui dit qu'elle changera sa vie s'il l'attend. Il ne sait pas pourquoi mais il l'attend. Ils s'installent ensemble. Au moment où il apprend la mort de son ami André, Anna lui annonce qu'elle est enceinte. Un récit divisé en trois parties, écrites respectivement à la première, la deuxième et la troisième personne du singulier.
Après avoir acheté un lot de 250 photos d'une famille d'inconnus, l'auteure a décidé d'écrire leurs aventures, mises en musique par A. Beaupain.
On peut la jouer tout sourire au quotidien. N'empêche... ça mijote, ça travaille dans les profondeurs ! La prudence ou la lâcheté espèrent qu'on laissera clapoter le moût dans le fond des marmites jusqu'à l'extinction totale des fermentations. On s'efforce d'y croire. Mais des histoires comme ça, faut être drôlement solide pour les étouffer, mettre son mouchoir pardessus et n'en jamais rien dire...
D'ailleurs je ne sais pas où cette mise en mots va m'emmener, ni pourquoi je suis saisi par le besoin de raconter ces histoires et les bouts de vie en forme de culs-de-sac qui vont avec.