Un magnifique portfolio, témoin de la vigueur du trait de Munoz, vient d'être édité avec soin par Trichromia. On retrouve dans ces planches en noir et blanc son sens de l'espace, du détail, du volume et de la lumière. Chaque trait, chaque mise en page respire la vérité du dessin.
Merci monsieur José Munoz.
Ca y est, c'est le dernier... Ce quatrième tome de Lupus clôture la série. C'est tellement bien que ça en devient frustrant de savoir qu'il n'y en aura plus après...
Lu et apprécié par Oscar
Que fait un petit garçon
sur les toits d'une grande ville ?
Il parle aux cheminées, joue au foot,
affronte des sorcières redoutables,
de terribles chevaliers,
des voleurs
et des bonshommes
de neige en forme
de dragon !
Enfin... C'est le cas de Vladimir !
Présentation de l'éditeur
Charles Schulz apporte du neuf dans le strip des années 1950, jusqu'alors dominé par l'action et l'aventure, le vaudeville et le mélodrame, la farce et le gag. Il ose creuser un sillon original et personnel - un profond sentiment d'aliénation, de malaise et d'infériorité - pour évoquer son époque de manière réaliste. De son trait à la fois vif et dépouillé, avec un sens du rythme semblable à celui de Jack Benny et un humour subtil, il aborde des thèmes jugés tabous comme la foi, l'intolérance, la dépression et le désespoir. Charlie Brown représentait aussi quelque chose de neuf dans la bande dessinée : une vraie personne, avec une vraie psychologie et de vrais problèmes. Le lecteur le connaissait, lui et ses peurs, et partageait avec compassion son sentiment d'infériorité et d'aliénation.
Quand pour la première fois Charlie Brown avoue : « Je ne me sens pas comme je le devrais », il se fait le porte-parole de l'Amérique d'Eisenhower, [...] la dernière génération à avoir grandi, comme Schulz, sans la télévision, qui interprète les paroles de Charlie Brown comme des sentences existentielles - un paradoxe en forme de strip, sur lequel méditer.
Présentation de l'éditeur
Juillet 1993. Faisant les puces, je tombe sur un bouquin de Tolstoï, Ibicus, édition de 1926 illustrée de gravures sur bois. Bonne affaire : 3 francs !
A la maison, mince, j'avais pas fait gaffe, c'est pas le Tolstoï de Guerre et Paix, c'est pas Léon, c'est Alexis ! Allez, en attente : on le lira quand on n'aura rien d'autre !
Trois mois passent, huit heures du soir, j'ai plus rien à lire, je me tape l'incunable. Au petit matin je le repose, fini?
Coup de foudre ! La matière est là : c'est décidé, je l'adapte.
Mon adaptation est libre, mais j'ai cependant essayé de respecter l'esprit de l'auteur. Ceci dit je m'en fous, c'était un stalinien et il est mort ! De toutes façons, les lecteurs pourront toujours comparer avec le roman. Pascal Rabaté.
Présentation de l'éditeur
'Brassens n'aurait pas désavoué Valbert, ce fils naturel né de l'union de Rousseau avec Rabelais.' D. Chamard Les Clés de l'Actualité
'Un excellent album de Reutimann et Gabus qui nous ferait presque entendre la voix de Depardieu dans Cyrano. A ne pas rater donc.' B. Percept Europe 2
'Frondeur et libertin, Valbert s'annonce comme le digne héritier de Cartouche. Avec son scénario trépidant et des graphismes alertes, cette trilogie s'annonce prometteuse !' O. Mimran 20 Minutes
'Cette série réjouissante mêle avec bonheur aventures de type cape et épées, dialogues truculents et ode à l'amitié. D'une densité plutôt rare ces derniers temps en bande dessinée, le récit, prévu en trois volumes, s'appuie sur une brochette de personnages auxquels il est difficile de ne pas s'attacher de plus en plus au fil des pages...' O. Maltret Canal BD Magazine
Présentation de l'éditeur
Les 500 pages de L. Debeurme constituent une belle surprise ! D'abord, ce graphisme surprend, car la plume de Debeurme est rêche, là où on l'avait connue plus souple, plus tremblée. L'influence de Chester Brown de I never like you est perceptible et participe du souci de faire au plus simple. Ensuite, il reprend et amplifie son exploration de l'adolescence tragique, dans un magnifique mouvement cynique et désespéré.
Lu et apprécié par Oscar
Nana Kamatsu commence à réaliser qu'elle peut être heureuse à sa façon, tandis que Nana Osaki, en cours de tournée promotionnelle, lance les démarches administratives qui vont lui permettre de déposer un dossier de mariage avec Ren. C'est alors qu'elle reçoit une photo de Reira et lui des plus déroutante...
Présentation de l'éditeur
Manga
Plusieurs habitants du Bosquet joyeux ne sont jamais revenus d'une excursion sur l'île qui se trouve au milieu du Marais du diable. Sybilline et Taboum sont envoyés en mission de reconnaissance. A peine arrivés, Taboum se fait enlever par des bandits de la Ligue des coupe-jarrets...
Dans ce livre, il y a Bush, Kerry, le désert, les cactus, l'Arizona, un chien hyperkinétique, des Drag Queens et Philippe Dupuy et Loo Hui Phang en visite chez leur ami Andrew de Tucson... A lire absolument !
Lu et apprécié par Oscar