Une source d'inspiration pour fleurir votre jardin
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* Trouver des solutions fleuries faciles à appliquer pour colorer tous les coins du jardin en consultant le carnet d'idées illustré, de nombreuses scènes originales et de conseils judicieux.
Présentation de l'éditeur
Une source d'inspiration pour aménager et embellir les petits espaces
* Découvrir l'univers si particulier des jardins en milieu urbain, leurs contraintes et les tendances actuelles pour aménager le vôtre.
* Personnaliser son décor et crée des ambiances réussies grâce aux suggestions de matériaux et à la sélection de végétaux les mieux adaptés à son environnement.
* Trouver des solutions faciles à appliquer aux multiples problèmes rencontrés dans les petits jardins en parcourant le carnet d'idées, illustré de scènes originales et de conseils avisés.
Présentation de l'éditeur
En 1835, à l'heure où la Belgique se crée une identité propre et développe ses institutions scientifiques, l'étudiant Jean Linden (1817-1898) se voit charger d'une première expédition botanique au Brésil. Le jeune homme parcourera pendant près de dix ans les contrées inexplorées d'Amérique latine, affinant progressivement ses connaissances et sa passion pour les orchidées.
Rentré en Belgique, Linden exploite son savoir-faire au profit d'un commerce de plantes exotiques rendu florissant par les apports réguliers des collecteurs dirigés à travers le monde. Il devient vite une figure incontournable dans les milieux scientifique, économique et politique.
S'appuyant sur de nombreux documents d'archives et sur les récits de l'explorateur, l'ouvrage s'agrémente entre autres de somptueuses planches illustrées issues des revues et recueils spécialisés de l'époque.
Extrait de la présentation de l'éditeur
Multatuli a écrit son Max Havelaar dans la mansarde d'un hôtel bruxellois. Lourens Tadema a appris la peinture à l'académie d'Anvers. Vincent van Gogh a prêché la Parole divine au milieu des humbles mineurs du Borinage. Les 'écrivains des années 1880', les Tachtigers, ont découvert combien il fait bon vivre dans les Ardennes.
Ce ne sont là que quelques exemples de peintres et d'écrivains néerlandais qui ont séjourné plus ou moins longtemps en Belgique, voire n'ont fait que la traverser, mais y ont tous laissé une trace de leur passage. Les peintres Willem Roelofs, David et Pieter Oyens et Jan Toorop y ont été attirés par une atmosphère favorable aux artistes. Jan Greshoff a exercé son activité littéraire à la Taverne du Passage à Bruxelles et s'y est entretenu avec Eddy du Perron de son pays d'origine. Willem Frederik Hermans a fini par préférer Bruxelles à Paris et Gerard Reve s'est acheté une résidence dans un village sur les rives de la Lys. L'un et l'autre ont eu la joie, dans les rues de la capitale, de faire un signe de la main à leurs amis le roi Baudouin et le pape.
Willem Paerels et Jan Cox sont entrés dans l'histoire de l'art belge. Les écrivains Joke van Leeuwen, Jeroen Brouwers et Benno Barnard ont émigré vers le Sud. Et Charlotte Mutsaers a des liens avec Ostende. Ces artistes ont été inspirés par la Belgique, sur le territoire belge. En quoi leur art en a-t-il été modifié ? Mais surtout : comment sont-ils devenus eux-mêmes dans ce 'pays étranger le plus voisin' du leur ?
Présentation de l'éditeur
Peintre, dessinateur et graveur post-expressionniste proche du pop'art, dont il est un précurseur. Manifeste cette tendance dans son oeuvre dès 1952. Réalise aussi de la céramique et des objets d'art. Formation aux Académies de Deinze (1937-40, H. Malfait) et de Gand (1941-45, J. Verdegem). Etudes de céramique à l'Académie de Gand (1954) et en Italie (1962). Peint des fresques dans les couloirs souterrains du Château de Beervelde (1966-67). Professeur à l'Académie de Deinze (1960-73). Mentions JPB (1958 et 1960) et Prix Europe de Peinture (Ostende, 1962). Développe un style très personnel à partir de 1948 et crée un nouveau langage plastique, trouvant l'inspiration dans l'observation des objets qui l'entourent. Aspire à l'interaction entre sa peinture et le spectateur. Représente notre pays à la Biennale de Venise et à la Documenta à Kassel en 1968. Est anobli en 1994. Oeuvre à la station de métro Mérode à Bruxelles. Le Musée Raveel (architecte, S. Beel) est ouvert dans son village natal en 1999. Oeuvres aux Musées d'Anvers, Bruges, Bruxelles, Gand, Liège, Ostende et nombreux musées hollandais.
Source : www.arto.be
L'oeuvre unique du Néerlandais Johan van der Keuken a marqué l'histoire du cinéma documentaire. Plusieurs films se distinguent dans son imposante filmographie : Vers le sud (1981), Le temps (1983), I Love Dollars (1986), Amsterdam Global Village (1996), Vacances prolongées (2000) ou encore L'oeil au-dessus du puits (1988), dont le titre programmatique a été repris pour ce livre.
Robert Daudelin a développé une longue amitié avec Johan van der Keuken. Cette complicité, ainsi qu'une connaissance intime des films du cinéaste, donne son caractère précieux aux deux conversations qui composent l'essentiel de ce livre : l'humanisme, la rigueur et l'originalité de l'artiste s'y trouvent démontrés avec modestie, éloquence et précision.
L'oeil au-dessus du puits. Deux conversations avec Johan van der Keuken offre au lecteur le privilège d'aller au plus près de l'expression d'un cinéaste et photographe majeur. Ses propos éclairants dépassent le simple contexte de ses films pour parler du cinéma, mais aussi du monde dans lequel nous vivons.
Présentation de l'éditeur
Portrait sans concession de la la boxe thaïlandaise
Ce jeune photographe sino-britannique basé à Bangkok nous propose une approche débarrassée de toute anecdote,à la limite de la fiction et en même temps particulièrement ancrée dans l'expérience du réel.
Olivier Pin-Fat a une écriture fluide et immédiate. Sa volonté de révéler le non visible l'amène à constituer des livres monumentaux et à s'intéresser aussi bien aux malades du Sida recueillis dans un temple, aux festivals de transes et aux phénomènes paranormaux qu'aux éléphants au chômage, perdus dans la mégapole de Bangkok, ou ici, aux combats de boxe.
Le social, les enjeux contemporains sont toujours présents dans son travail, hanté par la mort et la présence des esprits, qui interroge la situation physique du corps dans l'espace aujourd'hui et qui, formellement, ose de nouvelles propositions, prend le risque d'une écriture tout à fait personnelle et affirme tout à la fois sa dimension documentaire et la subjectivité d'un point de vue sensible et généreux.
Sensible et révolté, il sait que ses images peuvent dénoncer mais qu'elles ne peuvent rien démontrer. Alors, il en utilise la dimension sensible comme une façon de nous rendre aussi responsables que lui. Généreux.
Source : www.photographie.com
Teresa Sdralevich est née à Milan, elle a séjourné à Paris et étudié les Sciences Politiques à l'université de Bologne, avant de s'installer provisoirement à Bruxelles. Ses affiches politiques et ses dessins d'opinion en font une figure du graphisme actuel, remarquée pour la rigueur et la qualité de son travail en Angleterre, en Italie, en Allemagne et en Belgique. On la retrouve dans de nombreuses manifestations dédiées à l'affiche et au dessin politique (Chaumont, Mons, Varsovie). Elle se spécialise dans la sérigraphie, qui lui permet de réaliser librement ses intentions plastiques.
Les affiches réunies dans ce volume manifestent la cohérence du travail de l'auteur, tant sur le plan discours que sur le plan des moyens mis en ?uvre. Une esthétique graphique radicale qui rend le sujet d'autant plus percutant qu'elle est épurée. Sdralevich utilise, de façon minimale, un visuel, un drapeau, une typo ou symbole pour pointer du doigt les dérives du monde actuel en replaçant ces images familières dans une perspective historique ou politique avec une efficacité redoutable.
L'affiche est ?art graphique?, manière plus ou moins savante d'agencer des formes, des lignes et des couleurs, ou simplement ?réclame?. Les affiches de Sdralevich repoussent ces deux pôles avec autant de force.
?Tout ce qui frôle la bande dessinée (articulation (narrative) de textes et d'images en vue de produire du sens), intéresse la Cinquième Couche et tend à l'en éloigner.? C'est dans cette perspective que nous avons choisi d'éditer les affiches de Teresa Sdralevich : parce qu'elles ont du sens.
Sa démarche ne résulte ni d'une ambition stylistique, ni de la commande. Sdralevich s'exprime quand elle en ressent la nécessité ou le devoir. Elle refuse les évidences du discours univoque, la description explicative, la moralisation. Elle donne à penser autant qu'à voir.
Un travail résulte des intentions qui le firent naître.
Quand elles sont originales, il est forcément puissant.
Présentation de l'éditeur
À la fin des années 60, le succès de Bonnie & Clyde et de Easy Rider révèle l'existence d'un public jeune, exigeant, politisé par la guerre du Vietnam, souvent engagé dans les mouvements contestataires. Le moment est venu pour une nouvelle génération de prendre d'assaut la citadelle hollywoodienne. Débute alors un moment de grâce du cinéma américain, un nouvel âge d'or baptisé le Nouvel Hollywood. Une dizaine d'années euphoriques au cours desquelles de jeunes cinéastes, acteurs, producteurs, réalisent des films audacieux, pleins d'énergie, porteurs d'une poésie du monde radicalement neuve : Little Big Man, La Horde sauvage, Une femme sous influence, Un après-midi de chien, M.A.S.H., Voyage au bout de l'enfer, Macadam Cowboy, Taxi Driver, Apocalypse Now, Phantom of the Paradise, French Connection, Délivrance, Rosemary's Baby....L'auteur de cet ouvrage se révèle un guide précieux pour le lecteur avide de repères au sein d'une période cinématographique prolifique, protéiforme et pleine de métamorphoses. Quelques traits communs se dégagent des films des années 70 : irrespect des règles classiques de la narration, doute sur les frontières du bien et du mal et des personnages qui les incarnent, sympathie pour les marginaux, rapport frontal au sexe et à la violence, méfiance vis-à-vis de toutes les formes d'autorité. Les spectateurs reconnaissent une part d'eux-mêmes chez une nouvelle pléiade d'acteurs : Robert de Niro, Al Pacino, Dustin Hoffman, Jack Nicholson, Faye Dunaway, Gena Rowlands, Jane Fonda, Mia Farrow, Diane Keaton... Une génération montante de cinéastes cinéphiles, influencés par les nouvelles vagues des années 60, prend en main les rênes des studios, bénéficiant d'une liberté créatrice jamais atteinte jusqu'alors ; ils s'appellent Francis Ford Coppola, Brian de Palma, Martin Scorsese, William Friedkin, Hal Hashby, Michael Cimino.
Présentation de l'éditeur
Réfléchir à l'avenir
Ici, quelques centaines de tilleuls bordant une route.
Là-bas, un pan entier de la forêt amazonienne, empêchant d'exploiter le pétrole.
Tous ces arbres pourraient disparaître par la volonté de quelques hommes.
Tous ces arbres pourraient être préservés par la volonté de quelques autres.
Dans les deux situations, des groupes de citoyens alertent l'opinion publique, attirent l'attention sur une illusion dangereuse : croire que tout peut être réglé à coups de tronçonneuses, dans la violence.
C'est pour partager cette prise de conscience et demander à chacun de réfléchir à l'avenir qu'il veut construire pour l'humanité qu'est né ce livre.
La sécurité sur les routes d'Ardenne et d'ailleurs, le développement durable pour les communautés
d'Orient et d'Occident, du Nord et du Sud, nécessitent une démarche commune : elle est faite de respect mutuel, de responsabilisation collective, de réflexion à long terme.
C'est en empruntant le chemin de la découverte et de la beauté que ce livre veut en témoigner.
Il nous rappelle que chaque fois que nous détruisons la nature, c'est aussi notre propre existence que nous menaçons.
Pour s'opposer à la solution de l'abattage des arbres de la route RN845, qui relie Neufchâteau à Bertrix, un manifeste a été rédigé. Il réclame une réflexion afin d'élargir l'action préventive (faire plus et mieux pour la sécurité de cette route) et de préserver la qualité et la diversité de notre cadre de vie (ne pas transformer notre paysage en un immense talus d'autoroute).
De cette démarche est née l'idée d'un livre. Le Manifeste des arbres a enfanté un Plaidoyer pour les tilleuls.
Il s'appelle Sept cent septante-sept arbres.
Présentation de l'éditeur