Un homme de quarante ans dont la solitude apparaît comme une sorte de malédiction, dont le rêve d'amour et de bonheur semble relever d'une humanité définitivement hors d'atteinte, s'arrange de sa triste vie comme il peut. Et comme beaucoup d'autres, il parle seul. Est-il vraiment seul? Un interlocuteur qu'il décrit, à qui il écrit, dans un cahier intime de couleur bleue, à qui il raconte son enfance, ses premières passes amoureuses, le frisson métaphysique de l'adolescence, la politique, le travail, les espoirs, les désillusions... prend petit à petit, au fil des jours, au fil des pages, figure d'être de chair et de sang...
Présentation de l'éditeur
Un homme de quarante ans dont la solitude apparaît comme une sorte de malédiction, dont le rêve d'amour et de bonheur semble relever d'une humanité définitivement hors d'atteinte, s'arrange de sa triste vie comme il peut. Et comme beaucoup d'autres, il parle seul. Est-il vraiment seul? Un interlocuteur qu'il décrit, à qui il écrit, dans un cahier intime de couleur bleue, à qui il raconte son enfance, ses premières passes amoureuses, le frisson métaphysique de l'adolescence, la politique, le travail, les espoirs, les désillusions... prend petit à petit, au fil des jours, au fil des pages, figure d'être de chair et de sang...
Présentation de l'éditeur
L'acte de naissance du sujet de la connaissance a été dressé par un Français. C'est le Discours de la méthode.
Mais c'est en Allemagne que Descartes l'a conçu, en rêve, et aux Pays-Bas qu'il l'a rédigé. Si le monde se ramène depuis lors, à deux substances, l'étendue et la pensée, leurs rapports ne vont pas sans complications ni sautes.
La vie même de Descartes en est l'illustration.
Un homme de quarante ans dont la solitude apparaît comme une sorte de malédiction, dont le rêve d'amour et de bonheur semble relever d'une humanité définitivement hors d'atteinte, s'arrange de sa triste vie comme il peut. Et comme beaucoup d'autres, il parle seul. Est-il vraiment seul? Un interlocuteur qu'il décrit, à qui il écrit, dans un cahier intime de couleur bleue, à qui il raconte son enfance, ses premières passes amoureuses, le frisson métaphysique de l'adolescence, la politique, le travail, les espoirs, les désillusions... prend petit à petit, au fil des jours, au fil des pages, figure d'être de chair et de sang...
Présentation de l'éditeur
I. Le geste brutal du peintre : sur Francis Bacon
II. Romans, sondes existentielles
III. Les listes noires ou divertimento en hommage à Anatole France
IV. Le rêve de l'héritage intégral
V. Beau comme une rencontre multiple
VI. Ailleurs
VII. Mon premier amour
VIII. Oubli de Schönberg
IX. La Peau : un archi-roman
Un homme de quarante ans dont la solitude apparaît comme une sorte de malédiction, dont le rêve d'amour et de bonheur semble relever d'une humanité définitivement hors d'atteinte, s'arrange de sa triste vie comme il peut. Et comme beaucoup d'autres, il parle seul. Est-il vraiment seul? Un interlocuteur qu'il décrit, à qui il écrit, dans un cahier intime de couleur bleue, à qui il raconte son enfance, ses premières passes amoureuses, le frisson métaphysique de l'adolescence, la politique, le travail, les espoirs, les désillusions... prend petit à petit, au fil des jours, au fil des pages, figure d'être de chair et de sang...
Présentation de l'éditeur
Avec toi, pour toi et en toi,
j'ai appris l'essentiel d'exister.
Tu étais. Tu n'es plus. Tellement absente.
Présentation de dessins et croquis réalisés par Marguerite Yourcenar en une sorte de journal graphique, rassemblant les textes, les personnes et les lieux qui l'ont influencée. Ces documents sont suivis d'un essai de Sue Lonoff de Cuevas qui s'applique à en analyser les articulations.