Vous cherchez à faire plaisir à un passionné d'aviation ?

Une fois encore, Jean-Pierre Otelli nous présente un recueil d'histoires de l'aviation, mais cette fois-ci, il nous les propose sous la forme d'un album magistralement illustré par François Bousseau, dont la précision du trait rappelle celle d'un Francis Bergese ou d'un Eric Loutte. On regrette un peu que ces dessins soient demeurés en noir et blanc, mais cela ne nous empêche pas de plonger dans ces récits d'incidents légers ou plus sérieux auxquels ont été confrontés des pilotes civils et militaires. Atmosphères d'aéroclubs, fuselages blancs des longs courriers, ambiances électroniques des cockpits, rugissement des réacteurs, vrombissement des hélices ou sifflement du vent sont autant d'ingrédients qui raviront les amateurs avertis et les néophytes en aéronautique.

De la Belgique unitaire à la Belgique fédérale

Le Crisp - Centre de Recherche et d'Information socio-politiques - sort un ouvrage sur La Belgique depuis la seconde guerre mondiale. La lente évolution de la Belgique y est analysée en quatre périodes de quinze ans environ, pour lesquelles sont examinées l'évolution politique et institutionnelle, l'évolution économique et sociale, les mutations dans la culture et la vie quotidienne, le tout replacé dans le cadre européen et international où évolue l'état belge.
Cet ouvrage, rédigé sous la direction de Xavier Mabille, ancien directeur du CRISP, entend établir un maximum de faits significatifs et les replacer dans leur contexte, en laissant le lecteur libre de dégager ses interrogations et ses conclusions.

Hommage à Marie de Bourgogne

Dernière héritière d'un fastueux et fragile royaume, Marie de Bourgogne, Duchesse de Brabant, raconte dans ce roman les trois âges d'une courte vie, au crépuscule du Moyen Age. Apparentée au roi de France Louis XI, dont elle ne cesse repousser la convoitise et les envies de conquête, elle épouse Maximilien d'Autriche, et parvient tant bien que mal à régner sur un pays menacé de l'intérieur et de l'extérieur. Elle meurt dans un accident de chasse à l'âge de 25 ans, laissant derrière elle le souvenir d'une princesse combative et romantique.

Les béguines, ces pionnières du Moyen-Age

Dès le XIIème siècle, en Europe, des femmes, ni religieuses, ni laïques - les béguines - indépendantes et souvent très instruites, eurent un rôle économique, social et artistique important.
Dans les Pays-Bas du Suf elles vivaient leur foi en communauté dans des enclos - les béguinages - véritables ville dans la ville.
Au XIIIème siècle, certaines bravèrent l'interdiction pour les femmes de lire et de commenter la Bible en rédigeant des textes, sublimes, mais jugés contraires aux dogmes de l'Eglise. Le Pape les déclara hérétiques et les fit supprimer. Un nombre d'entre elles furent même brûlées vives. Seules les béguines vivant dans des enclos survécurent jusqu'à nos jours.
Ce guide nous invite à comprendre l'histoire et l'influence de ces femmes au départ des 13 béguinagaes reconnus comme patrimoine majeur de l'humanité par l'Unesco.
Ces lieux de paix et de beauté sont les témoins de ces femmes d'exception.
Présentation de l'éditeur

' Par quelle aberration a-t-on pu croire, après la chute du Mur, que la disparition d'un adversaire signifiait l'abolition de l'adversité ?

Par quelle sottise a-t-on pu considérer que l'Homo economicus allait pacifier la planète, et que les conflits subsistants n'étaient que des vestiges du passé, des bavures exotiques ? Je l'explique à la manière de Tchékhov. Par le très grand plaisir que les hommes ont à dormir. ' La Cerisaie ' est vraiment la grande pièce sur les dix dernières années que nous venons de passer. Tous les protagonistes, qu'ils soient propriétaires ou intellectuels, y sont acquis à l'idée que finalement tout s'arrange toujours, que le mal n'est que le fourrier du bien. Cet esprit-là domine en Occident depuis 1989. C'est ainsi que l'on a pu, sans rire, voir Fukuyama célébrer la victoire des Etats-Unis sur l'Union soviétique exactement dans les même termes que Kojève pensait fêter la victoire de Staline sur l'Occident? Fêter la victoire de Staline en 1937 et la victoire de Wall Street en 1987 exactement dans les mêmes catégories intellectuelles aurait tout de même dû poser un problème, non ? '
André Glucksman, in Le Nouvel observateur, janvier 2002.

' Par quelle aberration a-t-on pu croire, après la chute du Mur, que la disparition d'un adversaire signifiait l'abolition de l'adversité ?

Par quelle sottise a-t-on pu considérer que l'Homo economicus allait pacifier la planète, et que les conflits subsistants n'étaient que des vestiges du passé, des bavures exotiques ? Je l'explique à la manière de Tchékhov. Par le très grand plaisir que les hommes ont à dormir. ' La Cerisaie ' est vraiment la grande pièce sur les dix dernières années que nous venons de passer. Tous les protagonistes, qu'ils soient propriétaires ou intellectuels, y sont acquis à l'idée que finalement tout s'arrange toujours, que le mal n'est que le fourrier du bien. Cet esprit-là domine en Occident depuis 1989. C'est ainsi que l'on a pu, sans rire, voir Fukuyama célébrer la victoire des Etats-Unis sur l'Union soviétique exactement dans les même termes que Kojève pensait fêter la victoire de Staline sur l'Occident? Fêter la victoire de Staline en 1937 et la victoire de Wall Street en 1987 exactement dans les mêmes catégories intellectuelles aurait tout de même dû poser un problème, non ? '
André Glucksman, in Le Nouvel observateur, janvier 2002.

' Par quelle aberration a-t-on pu croire, après la chute du Mur, que la disparition d'un adversaire signifiait l'abolition de l'adversité ?

Par quelle sottise a-t-on pu considérer que l'Homo economicus allait pacifier la planète, et que les conflits subsistants n'étaient que des vestiges du passé, des bavures exotiques ? Je l'explique à la manière de Tchékhov. Par le très grand plaisir que les hommes ont à dormir. ' La Cerisaie ' est vraiment la grande pièce sur les dix dernières années que nous venons de passer. Tous les protagonistes, qu'ils soient propriétaires ou intellectuels, y sont acquis à l'idée que finalement tout s'arrange toujours, que le mal n'est que le fourrier du bien. Cet esprit-là domine en Occident depuis 1989. C'est ainsi que l'on a pu, sans rire, voir Fukuyama célébrer la victoire des Etats-Unis sur l'Union soviétique exactement dans les même termes que Kojève pensait fêter la victoire de Staline sur l'Occident? Fêter la victoire de Staline en 1937 et la victoire de Wall Street en 1987 exactement dans les mêmes catégories intellectuelles aurait tout de même dû poser un problème, non ? '
André Glucksman, in Le Nouvel observateur, janvier 2002.

' Par quelle aberration a-t-on pu croire, après la chute du Mur, que la disparition d'un adversaire signifiait l'abolition de l'adversité ?

Par quelle sottise a-t-on pu considérer que l'Homo economicus allait pacifier la planète, et que les conflits subsistants n'étaient que des vestiges du passé, des bavures exotiques ? Je l'explique à la manière de Tchékhov. Par le très grand plaisir que les hommes ont à dormir. ' La Cerisaie ' est vraiment la grande pièce sur les dix dernières années que nous venons de passer. Tous les protagonistes, qu'ils soient propriétaires ou intellectuels, y sont acquis à l'idée que finalement tout s'arrange toujours, que le mal n'est que le fourrier du bien. Cet esprit-là domine en Occident depuis 1989. C'est ainsi que l'on a pu, sans rire, voir Fukuyama célébrer la victoire des Etats-Unis sur l'Union soviétique exactement dans les même termes que Kojève pensait fêter la victoire de Staline sur l'Occident? Fêter la victoire de Staline en 1937 et la victoire de Wall Street en 1987 exactement dans les mêmes catégories intellectuelles aurait tout de même dû poser un problème, non ? '
André Glucksman, in Le Nouvel observateur, janvier 2002.

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Par quelle sottise a-t-on pu considérer que l'Homo economicus allait pacifier la planète, et que les conflits subsistants n'étaient que des vestiges du passé, des bavures exotiques ? Je l'explique à la manière de Tchékhov. Par le très grand plaisir que les hommes ont à dormir. ' La Cerisaie ' est vraiment la grande pièce sur les dix dernières années que nous venons de passer. Tous les protagonistes, qu'ils soient propriétaires ou intellectuels, y sont acquis à l'idée que finalement tout s'arrange toujours, que le mal n'est que le fourrier du bien. Cet esprit-là domine en Occident depuis 1989. C'est ainsi que l'on a pu, sans rire, voir Fukuyama célébrer la victoire des Etats-Unis sur l'Union soviétique exactement dans les même termes que Kojève pensait fêter la victoire de Staline sur l'Occident? Fêter la victoire de Staline en 1937 et la victoire de Wall Street en 1987 exactement dans les mêmes catégories intellectuelles aurait tout de même dû poser un problème, non ? '
André Glucksman, in Le Nouvel observateur, janvier 2002.

L'histoire et la légende d'une des îles les plus célèbres au monde découverte il y a plus de cinq siècles, aujourd'hui colonie oubliée de la Couronne britannique, et lieu d'exil d'illustres proscrits dont Napoléon.