Les sept nouvelles de ce recueil ont toutes un point commun : prendre la littérature à contre-pied. Qu'il s'agisse des géants de Don Quichotte, du mythe de la caverne de Platon, des Fables de La Fontaine, de la madeleine de Proust, chacun de ces textes en montre, sinon l'envers, du moins une autre dimension, un reflet distordu par le kaléidoscope de l'humour et de l'ironie.
e Cap Montserrado, qui s'étendait de l'océan Atlantique à la brousse tropicale sur quelque 340 kilomètres carrés, fut vendu aux Américains contre des pistolets, de la poudre, des perles, des miroirs et du tabac. La valeur nette était inférieure à 300 dollars.
Un siècle et demi plus tard, nous étions en possession d'une maison en Espagne, de plusieurs demeures et fermes au Liberia et de notre palace de Sugar Beach. Nous faisions partie de la royauté congo.
Il était donc inconcevable de me laisser seule dans ma chambre, moi, petite princesse, à pleurnicher et à me cacher sous les couvertures toute la nuit pour échapper à des esprits imaginaires et à des vauriens bien réels. Et c'est ainsi que Papa et Maman allèrent me chercher une soeur chez les Indigènes.
1966, enfance dorée, Monrovia, Liberia. Aujourd'hui, grand reporter, Washington, états-Unis.
Helene Cooper a grandi et vécu sa première adolescence dans le très privilégié milieu des Congos, ces descendants des esclaves affranchis d'Amérique venus créer le Liberia au XIXe siècle en Afrique. Le 12 avril 1980, grand ciel bleu, elle se réveille dans sa maison de 22 pièces, se prépare à sa leçon de ballet et à faire la demoiselle d'honneur l'après-midi. Mais non, c'est le coup d'état, sa société est renversée. Un mois plus tard elle fuit aux états-Unis avec sa mère et sa soeur, laissant derrière elle Eunice, soeur adoptée et meilleure amie, d'une tout autre caste.
Helene Cooper fait un magnifique récit sur le Liberia contemporain, à partir de sa propre histoire. Avec un subtil mélange de tendresse et d'honnêteté, elle raconte comment des gens comme elle se sont rendus coupables d'effroyables injustices sans être pour autant monstrueux. Les anecdotes sont souvent drôles, les télescopages de la grande et de la petite histoire donnent la mesure des paradoxes de chacun. Helene Cooper est enjouée, franche, impitoyable.
e Cap Montserrado, qui s'étendait de l'océan Atlantique à la brousse tropicale sur quelque 340 kilomètres carrés, fut vendu aux Américains contre des pistolets, de la poudre, des perles, des miroirs et du tabac. La valeur nette était inférieure à 300 dollars.
Un siècle et demi plus tard, nous étions en possession d'une maison en Espagne, de plusieurs demeures et fermes au Liberia et de notre palace de Sugar Beach. Nous faisions partie de la royauté congo.
Il était donc inconcevable de me laisser seule dans ma chambre, moi, petite princesse, à pleurnicher et à me cacher sous les couvertures toute la nuit pour échapper à des esprits imaginaires et à des vauriens bien réels. Et c'est ainsi que Papa et Maman allèrent me chercher une soeur chez les Indigènes.
1966, enfance dorée, Monrovia, Liberia. Aujourd'hui, grand reporter, Washington, états-Unis.
Helene Cooper a grandi et vécu sa première adolescence dans le très privilégié milieu des Congos, ces descendants des esclaves affranchis d'Amérique venus créer le Liberia au XIXe siècle en Afrique. Le 12 avril 1980, grand ciel bleu, elle se réveille dans sa maison de 22 pièces, se prépare à sa leçon de ballet et à faire la demoiselle d'honneur l'après-midi. Mais non, c'est le coup d'état, sa société est renversée. Un mois plus tard elle fuit aux états-Unis avec sa mère et sa soeur, laissant derrière elle Eunice, soeur adoptée et meilleure amie, d'une tout autre caste.
Helene Cooper fait un magnifique récit sur le Liberia contemporain, à partir de sa propre histoire. Avec un subtil mélange de tendresse et d'honnêteté, elle raconte comment des gens comme elle se sont rendus coupables d'effroyables injustices sans être pour autant monstrueux. Les anecdotes sont souvent drôles, les télescopages de la grande et de la petite histoire donnent la mesure des paradoxes de chacun. Helene Cooper est enjouée, franche, impitoyable.
e Cap Montserrado, qui s'étendait de l'océan Atlantique à la brousse tropicale sur quelque 340 kilomètres carrés, fut vendu aux Américains contre des pistolets, de la poudre, des perles, des miroirs et du tabac. La valeur nette était inférieure à 300 dollars.
Un siècle et demi plus tard, nous étions en possession d'une maison en Espagne, de plusieurs demeures et fermes au Liberia et de notre palace de Sugar Beach. Nous faisions partie de la royauté congo.
Il était donc inconcevable de me laisser seule dans ma chambre, moi, petite princesse, à pleurnicher et à me cacher sous les couvertures toute la nuit pour échapper à des esprits imaginaires et à des vauriens bien réels. Et c'est ainsi que Papa et Maman allèrent me chercher une soeur chez les Indigènes.
1966, enfance dorée, Monrovia, Liberia. Aujourd'hui, grand reporter, Washington, états-Unis.
Helene Cooper a grandi et vécu sa première adolescence dans le très privilégié milieu des Congos, ces descendants des esclaves affranchis d'Amérique venus créer le Liberia au XIXe siècle en Afrique. Le 12 avril 1980, grand ciel bleu, elle se réveille dans sa maison de 22 pièces, se prépare à sa leçon de ballet et à faire la demoiselle d'honneur l'après-midi. Mais non, c'est le coup d'état, sa société est renversée. Un mois plus tard elle fuit aux états-Unis avec sa mère et sa soeur, laissant derrière elle Eunice, soeur adoptée et meilleure amie, d'une tout autre caste.
Helene Cooper fait un magnifique récit sur le Liberia contemporain, à partir de sa propre histoire. Avec un subtil mélange de tendresse et d'honnêteté, elle raconte comment des gens comme elle se sont rendus coupables d'effroyables injustices sans être pour autant monstrueux. Les anecdotes sont souvent drôles, les télescopages de la grande et de la petite histoire donnent la mesure des paradoxes de chacun. Helene Cooper est enjouée, franche, impitoyable.
e Cap Montserrado, qui s'étendait de l'océan Atlantique à la brousse tropicale sur quelque 340 kilomètres carrés, fut vendu aux Américains contre des pistolets, de la poudre, des perles, des miroirs et du tabac. La valeur nette était inférieure à 300 dollars.
Un siècle et demi plus tard, nous étions en possession d'une maison en Espagne, de plusieurs demeures et fermes au Liberia et de notre palace de Sugar Beach. Nous faisions partie de la royauté congo.
Il était donc inconcevable de me laisser seule dans ma chambre, moi, petite princesse, à pleurnicher et à me cacher sous les couvertures toute la nuit pour échapper à des esprits imaginaires et à des vauriens bien réels. Et c'est ainsi que Papa et Maman allèrent me chercher une soeur chez les Indigènes.
1966, enfance dorée, Monrovia, Liberia. Aujourd'hui, grand reporter, Washington, états-Unis.
Helene Cooper a grandi et vécu sa première adolescence dans le très privilégié milieu des Congos, ces descendants des esclaves affranchis d'Amérique venus créer le Liberia au XIXe siècle en Afrique. Le 12 avril 1980, grand ciel bleu, elle se réveille dans sa maison de 22 pièces, se prépare à sa leçon de ballet et à faire la demoiselle d'honneur l'après-midi. Mais non, c'est le coup d'état, sa société est renversée. Un mois plus tard elle fuit aux états-Unis avec sa mère et sa soeur, laissant derrière elle Eunice, soeur adoptée et meilleure amie, d'une tout autre caste.
Helene Cooper fait un magnifique récit sur le Liberia contemporain, à partir de sa propre histoire. Avec un subtil mélange de tendresse et d'honnêteté, elle raconte comment des gens comme elle se sont rendus coupables d'effroyables injustices sans être pour autant monstrueux. Les anecdotes sont souvent drôles, les télescopages de la grande et de la petite histoire donnent la mesure des paradoxes de chacun. Helene Cooper est enjouée, franche, impitoyable.
Baroque, excentrique, érudit, autoritaire, réactionnaire et excessif, telle est l'image de Nabokov, dont la stature hante le paysage littéraire actuel. Cet essai se concentre sur le personnage, conviant le lecteur à l'exploration de son monde dans une visite guidée où l'écrivain joue lui-même le rôle de guide, à la recherche de ce qui constitue le coeur de son imaginaire secret, le bonheur.
e Cap Montserrado, qui s'étendait de l'océan Atlantique à la brousse tropicale sur quelque 340 kilomètres carrés, fut vendu aux Américains contre des pistolets, de la poudre, des perles, des miroirs et du tabac. La valeur nette était inférieure à 300 dollars.
Un siècle et demi plus tard, nous étions en possession d'une maison en Espagne, de plusieurs demeures et fermes au Liberia et de notre palace de Sugar Beach. Nous faisions partie de la royauté congo.
Il était donc inconcevable de me laisser seule dans ma chambre, moi, petite princesse, à pleurnicher et à me cacher sous les couvertures toute la nuit pour échapper à des esprits imaginaires et à des vauriens bien réels. Et c'est ainsi que Papa et Maman allèrent me chercher une soeur chez les Indigènes.
1966, enfance dorée, Monrovia, Liberia. Aujourd'hui, grand reporter, Washington, états-Unis.
Helene Cooper a grandi et vécu sa première adolescence dans le très privilégié milieu des Congos, ces descendants des esclaves affranchis d'Amérique venus créer le Liberia au XIXe siècle en Afrique. Le 12 avril 1980, grand ciel bleu, elle se réveille dans sa maison de 22 pièces, se prépare à sa leçon de ballet et à faire la demoiselle d'honneur l'après-midi. Mais non, c'est le coup d'état, sa société est renversée. Un mois plus tard elle fuit aux états-Unis avec sa mère et sa soeur, laissant derrière elle Eunice, soeur adoptée et meilleure amie, d'une tout autre caste.
Helene Cooper fait un magnifique récit sur le Liberia contemporain, à partir de sa propre histoire. Avec un subtil mélange de tendresse et d'honnêteté, elle raconte comment des gens comme elle se sont rendus coupables d'effroyables injustices sans être pour autant monstrueux. Les anecdotes sont souvent drôles, les télescopages de la grande et de la petite histoire donnent la mesure des paradoxes de chacun. Helene Cooper est enjouée, franche, impitoyable.
Amis !
Parlons rond !
Sommes-nous réels ?
Présentation de l'éditeur
Vilém Lebeda, inspecteur en chef d'un district de Prague, enquête sur un suicide suspect et deux tentatives d'incendies criminels. Une satire du post-communisme.
Les morts se retrouvent ; seuls les vivants peuvent disparaître.
Présentation de l'éditeur
Ettore Majorana, brillant physicien sicilien, disparaît en 1938 entre Naples et Palerme. Spécialisé dans la physique nucléaire, il travaillait sur l'utilisation de la fission de l'atome et les risques encourus par l'humanité. Une enquête philosophique et politique sur un fait divers réel.
Ce roman, même s'il s'intitule Richard Yates, n'a aucun rapport avec l'auteur éponyme. Ce n'est en aucun cas une biographie, le titre fait plutôt appel à la sensation d'approximation qu'on vit lorsqu'on constate la différence entre un contenant et son contenu, ou lorsqu'on compare des éléments aussi éloignés que l'Art et la Vie : une situation étrange et pourtant familière, qui nous laisse dans un subtil état de confusion.